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COMMENT LA SURPOPULATION CHINOISE SAUVE LE MONDE

COMMENT LA SURPOPULATION CHINOISE SAUVE LE MONDE

SOMMAIRE

  • COMMENT LA SURPOPULATION CHINOISE SAUVE LE MONDE : Première partie
    • 1.1. OGS et OPS : Instruments Anti-Covid
    • 1.2. Chine : Premier prodexeur d’OPS
    • 1.3. Raisons de la surprodexion chinoise d’OPS
    • 1.4. Approche comparative de la question démographique
      • 1.4.1. Approche comparative de la question démographique : Anti-surpopulation
      • 1.4.2. Approche comparative de la question démographique : Pro-surpopulation
    • 1.5 Chine : Démographie chaotique ou harmonieuse ?
    • 1.6 Surpopulation et Environnement : Ennemis ou Alliés ?
    • 1.7 Introduction à la clarification du concept de surpopulation
    • 1.8 Retrait de la surpopulation chinoise : Conséquences

  • COMMENT LA SURPOPULATION CHINOISE SAUVE LE MONDE : Deuxième Partie
    • 2.1. Surpopulation = Sous-développement ?
    • 2.2. Surpopulation = Bouclier vert de la Terre ?
    • 2.3. Rapport entre pollution et sous-développement
    • 2.4. Comment la surpopulation sauve le monde
    • 2.5. Limites supposées de la surpopulation
    • 2.6. Limites véritables de la surpopulation
    • 2.7. Pour une science vitale : la démographie de l’impact
    • 2.8. Clarification du concept de surpopulation

  • COMMENT LA SURPOPULATION CHINOISE SAUVE LE MONDE : Troisième Partie
    • 3.1. Mono-démographie et Poly-démographie : Obsession et Réalité
    • 3.2. Limites et contradictions de la mono-démographie
    • 3.3. L’Équation sino-mondiale
    • 3.4. L’Anti-démographisme
    • 3.5. Le Démographisme
    • 3.6. Considérations sur l’anti-démographisme
    • 3.7. Considérations sur le démographisme
    • 3.8. Pour demain l’acte posé
  • LEXIQUE
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COMMENT LA SURPOPULATION CHINOISE SAUVE LE MONDE : Première Partie

1.1. OGS et OPS : Instruments anti-COVID

Novembre 2019 – Février 2021.

En moins de deux ans, la pandémie de la Sras-Covid, à la date du 30 janvier 2021 (17:48) a causé à travers le monde la mort de 2 209 912 personnes, pour un total de 102 204 419 cas confirmés.

Dans la lutte sanitaire pour enrayer le virus, la meilleure arme est la prévention sanitaire. Au titre des outils de prévention sanitaire figurent les masques chirurgicaux, comme les combinaisons de protection et les kits de dépistage.

Ainsi, la fourniture en OPS* (outils de préventions sanitaire) est-elle vitale pour enrayer la crise et sauver le maximum de vies.

Alors que la course aux vaccins fait rage, que leur distribution fait l’objet de tractations, que leur validation est parfois contestée, nous pouvons affirmer qu’avant même la guérison permise par l’OGS* (outil de guérison sanitaire) que constitue le vaccin, les OPS ont eux, d’or et déjà fait leurs entrées dans nos vies, comme dans les processus de décision gouvernementaux.

Aussi, toutes les demandes, toutes les commandes, tous les espoirs se tournent-ils naturellement vers qui produit et distribue les OPS (masques, combinaisons, kits de dépistages).

Or, c’est la Chine, pays ayant premièrement été touché par le coronavirus, qui est le premier producteur d’OPS, et automatiquement le premier distributeur des outils de prévention sanitaire contre le coronavirus.

1.2. CHINE : 1er Prodexeur D’OPS

Voici les chiffres (source : Ministère du Commerce de la République populaire de Chine) :

– La Chine, c’est la prodexion* (production-exportation ou prodex) de 34 masques OPS par personne dans le monde,

-La Chine, c’est la prodexion de 224,1 milliards de masques OPS,

-La Chine, c’est la prodexion de 2,31 milliards de combinaisons OPS,

-La Chine, c’est la prodexion de 1, 08 milliards de kits de dépistage.

En termes d’OGS (outils de guérison sanitaire) contre le virus, la Chine n’est pas en reste, avec la distribution par centaines de milliers de seringues pour les vaccins, et un nombre aussi conséquent de ventilateurs de réanimation.

1.3 Raisons de la surprodexion chinoise d’OPS

La question qui se pose est celle-ci : comment la Chine a-t-elle pu devenir le premier fournisseur mondial d’OPS anti-Covid ?

La réponse superficielle est simple : car la Chine est l’usine du monde ; alors que toute la production industrielle mondiale est à l’arrêt ou en souffrance, les ateliers chinois, après la victoire sanitaire de Beijing contre le virus, ont pu tourner à plein régime, et ne se sont depuis jamais arrêter.

La réponse analytique explique la réponse superficielle : Si la Chine a pu être une usine du monde, il faut en donner le crédit à son excédent démographique, qui aujourd’hui sauve le monde, et continue d’assurer sa survie.

Forte d’une population de près de 1,45 milliards d’habitants, la Chine est la première puissance démographique, ce qui facilite sa productivité industrielle.

Or la productivité industrielle chinoise, rendue possible par sa surpopulation, s’est avérée un bouclier contre ce fléau qui s’abat sur le monde.

La surproductivité natale, ou surproductivité démographique de la Chine, mais encore le soin et l’investissement envers sa surpopulation, qui a pu être labellisée comme (trop) forte, est le moteur de l’industrie salvatrice chinoise :

LE MOTEUR DÉMOGRAPHIQUE DE LA CHINE SAUVE LE MONDE, PAR SON UNION, SA DISCIPLINE ET SON TRAVAIL.

1.4. Approche comparative de la question démographique

1.4.1. Approche comparative de la question démographique : Anti-surpopulation

Il apparaît donc que la forte natalité, couplée à une industrie efficace, est la clé de voûte de la survie du genre humain.

Pourtant, alors que nous sommes les premiers à reconnaître et asseoir notre analyse ancienne selon laquelle la surpopulation de la Chine devrait être considérée à sa juste valeur et comme atout, et non point conduire à sa stigmatisation, les consciences ne sont pas encore préparées à une telle éventualité.

La surpopulation est perçue comme une bêtise, une irresponsabilité à la limite de la sauvagerie, voire de l’animalité, jusqu’alors associée à la pauvreté, à la misère, au manque d’éducation, ou à l’absence de stabilité politique.

Il nous faut comparer la Chine, hantise des adeptes de l’anti-surpopulation* d’avec les États répondant le mieux à leurs critères, ou chez qui l’idée anti-surpopulationnelle a le plus prise.

Aujourd’hui, les économies occidentales sont confrontées à une récession qui pourrait à terme conduire à une inflation monétaire si l’émission monétaire comme la politique d’emprunts massifs provoquaient une dévaluation des devises occidentales principales (euro et dollar).

Les États membres de l’Union Européenne, seuls capable de décider de leur politique fiscale, et gérant le placement de leurs dettes sur les marchés financiers, pourraient entrainer la perte mondiale de confiance en l’euro si jamais leurs dettes étaient annulées.

Aujourd’hui, les réductions d’effectifs, les banqueroutes d’entreprises et autres liquidations d’actifs, couplées aux rationalisations, pourraient à terme créer une crise de l’emploi, voire un chômage de masse, en plus d’une précardisation* (précarité économique, sociale et émotionnelle liée à la placardisation ou au confinement) ainsi qu’une clochardisation domestique* (le terme, indigne, est peu amène et volontairement utilisé pour interpeller, sans jugements de valeur envers les sans domicile fixe qui, eux, méritent une autre appellation plus respectueuse de leur dignité).

Aujourd’hui, la sécurité de l’éducation n’est pas garantie, le parcours supérieur n’est plus ni balisé, ni même assuré de sa pérennité.

Aujourd’hui, les remises en cause des modèles de gouvernements sont légion, les démocraties sont menacées en leur cœur même, tandis que les responsabilités à l’égard de la gestion de la crise sont débattues ; ainsi assistons-nous à des démissions et départs surprises de ministres, voire de chefs de gouvernements, comme en France avec la Ministre de la Santé Agnès BUZYN et le Premier Ministre Édouard PHILIPPE, aux Pays-Bas avec le Premier Ministre Mark RUTTE, ou en Italie avec le Premier Ministre Giuseppe CONTE.

Tout ceci est l’apanage des pays riches ayant parié sur la sous-population.

1.4.2. Approche comparative de la question démographique : Pro-surpopulation

En Chine, dont la surpopulation a été considérée comme une aberration nationale et un tort pour le monde, alors même que la pandémie est apparue sur son territoire et y a fait 4 636 victimes pour 89 430 cas confirmés à la date du 30 janvier 2021 (17h45), l’économie connaît un rebond record : +2,0 % de croissance économique pour l’année 2020 après une récession de 7 % au premier trimestre de 2020, augmentation de la production industrielle de 7,3% en décembre 2020, 1,9 % de croissance du commerce extérieur chinois en 2020, pire année de la crise en dehors de celle à venir.

En Chine, la monnaie du peuple est stabilisée car la puissance commerciale de ses entreprises ne la pousse pas à supporter outre-mesure son économie par émission de monnaie, de telle sorte que le lancement d’un yuan numérique est envisagé.

Aujourd’hui en Chine, l’indice PMI manufacturier (mesure de l’activité industrielle) est passé à 51,1 en juillet 2020, l’indice PMI manufacturier permettant d’établir le taux de progression ou recul de l’activité industrielle, qui est déterminé comme nul à 50,0.

Aujourd’hui en Chine, le taux de chômage dans la population active est de de la population active est de seulement 4.4 % en 2020, ce qui marque la pérennité de son modèle d’organisation de l’emploi puisque le dit taux était de 4.6 % en 2015 et de 4.5 % en 2010 (source : Base de données de l’Organisation des Nations Unies).

Certes, le Bureau K1FO Chine peut certifier que les embauches dans l’Empire du Milieu ont ralenties, et que les chiffres du chômage augmentent en Chine ; mais cela n’est pas du seul fait de sa surpopulation qui sauve plus qu’elle ne freine la Chine  et le monde; c’est la récession économique en Europe et en Amérique du Nord qui conduit à une baisse des commandes, ce qui ferme des débouchés commerciales à la puissance chinoise

Aujourd’hui en Chine, le rebond économique, comme les MSS* (mesures de sécurité sanitaires) ont permis de faire émerger une nouvelle société de consommation chinoise, qui fait éclore un nouvel indice économique phare de la prospérité chinoise : le marché intérieur chinois.

Ainsi, les entreprises chinoises tournées vers la consommation intérieure chinoise voient leur bénéfices grimper en flèche, et des fortunes s’ériger en temps de crise ; pour exemple le groupe Tencent (WeChat) dont la fortune du fondateur atteint aujourd’hui les 57 milliards de dollar, notamment boostée par les achats en Chine de jeux vidéos et autres services audiovisuels de divertissement ou communication.

Certes l’industrie chinoise, portée par la surpopulation de la Chine, sauve le monde, mais comment sauver le monde sans d’abord assurer sa survie ? C’est ainsi que la surpopulation chinoise permet en temps de crise sanitaire la surconsommation dans le marché intérieur chinois.

C’est donc l’économie chinoise, portée elle aussi par la surpopulation chinoise, qui soutient l’industrie chinoise, sauveuse de l’Humanité.

En Chine, ou la surpopulation est le schéma démographique établi, le taux brut de scolarisation masculin est de 99.68 % et le taux brut de scolarisation féminin est de 99.44 % (Institut de Statistiques de l’UNESCO, 2013).

En Chine, le taux d’alphabétisation féminin est de 92.7 %, le taux d’alphabétisation masculin est de 97.5 %, pour un taux d’alphabétisation total de 95.1 %.

En Chine, le système du parti unique est gage, si ce n’est de pluralité, engagement de stabilité. La Chine a son propre paradigme de gouvernement, différent des pays d’Europe et d’Amérique du Nord. Différent aussi en acte de celui de son premier modèle politique, l’URSS, puisque la Chine, nous le verrons, n’est pas engagée dans une politique d’affrontement armée entre elle et le monde.

Souhaitant la paix et l’ordre intérieur, la Chine dispose d’une organisation qui permet par exemple à la vie civile de s’extraire du cycle de la violence : le taux d’homicide volontaire était de 1/100 000 hab en 2010, il est passé à 0.7/100 000 hab en 2015, pour descendre en 2020 à 0.5/100 000 (source : ONU).

Pour comparaison, de 2010 à 2020 le taux d’homicide volontaire oscille entre 1.7 et 2/100 000 en Belgique, entre 1.6 et 1.8/100 000 au Canada, et culmine à 4.8-5 % aux États-Unis d’Amérique. La question du port d’armes sur le territoire américain ne saurait être expurgée, néanmoins pouvons-nous apprécier l’effectivité du raisonnement selon lequel à forte population n’est pas obligatoirement associée lacunes de gouvernement, la sécurité, la prospérité et l’efficacité de la République populaire de Chine en font foi.

Nous pouvons également associé la gouvernance à la chinoise des modèles de gouvernement ayant façonnée la Chine, notamment celle des monarchies et empires chinois, ou l’administration était, comme de nos jours, rigoureusement planifiée, méthodiquement organisé, avec des moyens de contrôle, de sélection, de formation, d’information, de recherche et d’application à l’échelle de l’Empire du Milieu.

La Chine révolutionnaire aurait pu faire fi d’un tel passé, mais gageons que le modèle planificateur communiste a pu trouver écho dans les aspirations nationales chinoises, puisqu’elle agrégeait principiellement des références centralisatrices tsaro-moscovites*, comme beijingistes*, avec le modèle d’administration des royaumes et empires eurasorientales* ou hélasorientales*.

Il est donc établi que la surpopulation, lorsqu’elle a trouvé sa voie propre, peut s’administrer et en faire profiter le plus grand nombre; si elle est entravée sous prétexte qu’elle n’a pas encore trouvé sa voie, il faudra tout d’abord ne pas lui en imposer qui ne soit sienne, auquel cas la population visée perdrait ses caractéristiques démographiques, qui fondent son identité et son existence : le monde serait comme amputé d’un continent.

Les conséquences, comme dans le cadre du désastre écologique que représenterait la disparition d’un bloc continental, en seraient terribles pour toute l’humanité, sans exception, dans le cas de la disparition ou de la dégradation d’un bloc démographique, ce à toute étape de son évolution.

Tout doit, dans un monde conjuguant chaos et harmonie, immuable et accident, « nécessaire et fortuit », assurer la nécessité de la vie et la contingence de son évolution aussi nécessaire que l’indubitable création puisse nous paraître contingente.

1.5. CHINE : Démographie chaotique ou harmonieuse ?

Pour expliquer l’évolution du peuple chinois qui renverse le paradigme en sciences humaines et sociales, environnementales et économiques, il faut reconnaître ceci : l’existence et la conscience de la surpopulation permet l’organisation rigoureuse, s’appuyant sur l’administration centrale et locale, ou chaque maillage est essentiel à l’harmonie de l’ensemble.

Des considérations philosophiques, religieuses, donc idéologiques, peuvent être mobilisées pour comprendre les différences de gestion entre la population de Chine et celle d’autres puissances; toutefois la démographie, science et organisation du peuple, apporte nécessairement à qui considère le peuple à sa juste valeur la valeur ajoutée que peut lui procurer le soin juste et le juste emploi de la population.

La population mondiale est aujourd’hui au cœur de tous les débats scientifiques, culturels, comme militaro-politiques.

La surpopulation chinoise saurait-t-elle lui apporter sa sécurité par la paix et l’ordre, pour sa pérennité et sa prospérité ? La surpopulation chinoise, comme la pandémie de la Covid-19 l’y conduit, sera t-elle capable d’assurer sa vie et prête à assurer celle des autres ?

1.6. LA SURPOPULATION ET L’ENVIRONNEMENT : ENNEMIS OU ALLIÉS ?

Puisque la politique est un véhicule pour les questions économiques préalablement abordées mais aussi les considérations environnementales, il est insinué que la surpopulation, ici chinoise, conduirait à une dégradation écologique.

Premièrement, par dégradation de l’environnement, nous entendons déchets. Or c’est la Chine, condamnée pour sa grande démographie, qui, selon le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE), traitait « la moitié des déchets mondiaux produits depuis 1992 ».

« Traitait », car la Chine a interdit les importations de déchets en provenance de l’étranger (par une notification datée d’octobre 2013 à l’Organisation mondiale du Commerce, avec prise d’effet fin 2017, unanimement rentrée en application en 2021).

La Chine était alors l’usine de recyclage du monde, avec 7.3 millions de tonnes de déchets plastique importés en 2012, soit 56 % du total des importations mondiales de déchets plastiques.

Comment la Chine aurait-t-elle pu soutenir une telle pollution, qui venait de l’extérieur, sans sa surpopulation ?

L’origine de la dite pollution est d’ailleurs connue : ainsi, parmi les dix principaux exportateurs de déchets plastiques en 2018, dont le Japon truste la première place avec près de 926 000 tonnes, se distinguaient-elles, aux côtés de Hong Kong (8e avec 267 188 tonnes) pas moins de sept nations d’Europe ou d’Amérique du Nord (États-Unis, Allemagne, Belgique, France, Royaume-Uni, Pologne et Canada), pour un total cumulé de 2 950 391 tonnes de déchets plastiques exportées (source : UN Comtrade).

La Chine, première puissance démographique, n’est pas par extension le premier exportateur de déchets, pourtant sa population, deux ans plus tard, en 2020, s’élèvera à 1 439 324k de personnes (sans inclusion de la région administrative spéciale de Hong Kong de la république populaire de Chine, de la région administrative spéciale de Macao de la république populaire de Chine, et de la Province de Taiwan de Chine).

La population totale des sept plus grandes nations exportatrices de déchets plastiques d’Europe et d’Amérique du Nord, dit bloc démographique 7NEANED pour bloc 7 Nations Europe Amérique Nord Exportatrice Déchets, ou BD7NEANED), au rang desquelles nous comprendrons la France métropolitaine sans les territoires d’Outre-mer (Guyane Française, Polynésie française, Mayotte, la Réunion, Saint Pierre et Miquelon, Les Îles Wallis et Futuna), le Royaume-Uni sans les territoires d’outre-mer, et les États-Unis sans les territoires des États-Unis afin de correspondre à la classification démographique des Nations Unies, est de 635,106 millions de personnes.

Est donc de 804,218 millions de personnes l’écart entre la population chinoise et la population cumulée des sept nations d’Europe et d’Amérique du Nord répertoriées parmi les dix plus grands exportateurs mondiaux de déchets en plastique.

En tant que la majorité des déchets exportés sont produites à domicile, hors cas de sous-traitance de gestrans* ou gestrance* (gestion-transport) de déchets, et si par commodité statistique nous indifférencions la population du bloc 7NEANED de 2018 et de 2020, la moyenne de prodexion de déchet plastiques par personne du bloc démographique 7NEANED serait d’environ 4,64550957 kg (total déchets plastiques exportés par bloc 7NEANED divisé par population bloc 7NEANED).

Aussi, si la Chine avait eu le même taux de prodexion de déchets plastiques par personne que le bloc des pays d’Europe et Amérique du Nord inclus dans le top 10 des exportateurs mondiaux de déchets plastiques, alors la Chine aurait exporté environ 6 686 393, 42 de tonnes de déchets plastiques dans le monde, or elle en a exporté moins que le Canada, donc maximalement moins de 146 275 tonnes en 2018.

Cela veut dire que le taux de prodexion de déchets plastique était en Chine, au maximum de 0,10162757 kilogrammes par habitant, contre 4,64550957 kg pour le bloc démographique 7NEANED.

Ce qui équivaut à un différentiel minimal de 4,543882 kg entre la prodexion de déchets plastiques d’un habitant du BD7NEANED et celle d’un habitant de Chine, tout cela bien sûr au désavantage de l’habitant du BD7NEANED, dans le cadre de l’étude de l’impact écologique des populations.

La comparaison entre population dite surpeuplée chinoise et population d’Europe et d’Amérique du Nord s’effectue, en termes écolo-démographiques, au détriment de l’Europe-Amérique du Nord.

1.7. Introduction à la clarification du concept de surpopulation

Il nous faut également signaler que le critère premier, nous le verrons, de détermination de la « surpopulation » n’est pas le nombre d’habitants, mais la manière dont les habitants usent de leurs ressources, et la nature de leur impact sur l’environnement.

À cet égard, nous le démontrerons, par considérations démographiques, sociales, environnementales, économiques et sanitaires, c’est bien le bloc Europe-Amérique du Nord qui serait en l’état surpeuplée.

La Chine, elle, aurait adaptée sa politique à son modèle démographie sain pour l’environnement et la santé, donc pour la préservation de la vie, pérenne pour la sécurité de sa société comme pour celle de la communauté internationale, pérenne pour la sécurité de son environnement comme pour celle de l’environnement global, pérenne pour la sécurité de son économie comme pour celle de l’économie mondiale, et pérenne pour sa sécurité sanitaire comme pour celle de la planète toute entière.

1.8. Retrait de la surpopulation chinoise : Conséquences

Avec le retrait de la surpopulation chinoise dans la gestion des flux mondiaux de déchets, se pose aux nations du monde, dont principalement aux puissances productrices et exportatrices, en un mot, prodextrices, de déchets, la question de l’organisation et de l’exploitation d’un tel flux, que pourtant permet leurs technologies dites avancées.

Plus qu’une question de capacité ou de population, l’écologie démographique, c’est-à-dire l’action remédiant aux conséquences des productions humaines néfastes à l’environnement, et développant les productions humaines bénéfiques à l’environnement, est une question de volonté et de gestion.

Pour démonstration, voyons le cas des États-Unis : n’ont-ils pas de formidables capacités économiques, industrielles et technologiques ? Les États-Unis n’ont-ils pas pas une population de taille raisonnable par rapport à son territoire et les capacités d’habitat offert par le territoire américain, de sorte que l’on ne puisse classer les États-Unis comme surpeuplés ? Et pourtant …

La Chine qui refuse l’importation de déchets extérieurs . . . Cela est déjà pour les Etats-Unis, entre autres, une catastrophe présente et un cataclysme à venir … UNE CRISE MONDIALE menace de submerger des nations souveraines sans l’apport de surpopulation à même de gérer de tels quantités de déchets, et de trancher le nœud gordien des crises environnementales (climat, déchets, dégradation de la biodiversité, disparition de la faune) par volonté et bonne gestion, avec le renfort de capacités pouvant, par le nombre, servir au plus grand nombre.

Les principaux exportateurs de déchets s’adapteront et exporteront leurs déchets vers d’autres pays considérés surpeuplées d’Asie et d’Afrique, à l’instar du Vietnam, de Indonésie, Malaisie, ou encore la Turquie, de manière officielle ou trouble comme en Côte d’Ivoire, avec la catastrophe sanitaire et environnementale du déchargement de 581 tonnes de déchets toxiques au port d’Abidjan (scandale Trafigura).

Si les leçons du passé sont tirées, de telles catastrophes ne doivent plus jamais se produire; pour ce faire, il faut remonter à la source du mal : les facteurs de sur-pollution.

Dans la deuxième partie de notre étude, nous serons donc amenés à éclaircir le concepts de surpopulation, par le prisme de son critère premier : l’impact socio-environnemental.

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COMMENT LA SURPOPULATION CHINOISE SAUVE LE MONDE : Deuxième Partie

2.1. Surpopulation = Sous-développement ?

Est-ce parce que des États sont dits en développement qu’ils ne peuvent « refuser » l’offre d’accueil (avec possibilité de stockage et traitement) des déchets venus d’États dits développés ? Surpeuplé et sous-développé, sont-ce deux déterminants attachés l’un à l’autre, et l’un serait-il la cause de l’autre, et inversement ?

Le premier argument qui contredit un telle affirmation est le cas de la Chine : pouvons-nous dire que la république populaire de Chine était, lorsqu’elle acceptait les déchets du monde, une nation sous-développée ? L’Indonésie, la Malaisie sont-ils des pays sous-développés ? En un mot, la position économique d’un État est-elle à ce point tributaire de son modèle économique, sans considération de sa force intrinsèque ?

Pour aller plus loin, nous pourrions dire que les nations réputées les moins fortes économiquement devraient être les premières importatrices de déchets, à moins que cela ne soit le cas à leur corps défendant ou à leur insu.

Au vu de la prédominance de nations démographiquement considérables dans le peloton des nations exportatrices, et qu’il pourrait être pensée de ces nations qu’elles ont une capacité d’acceptation de l’importation de déchets internationaux parce qu’elle partagerait des critères de sous-développement ou de progrès vers le développement, peut-on poser que la condition première pour être une nation importatrice significative de déchets est d’être à la fois surpeuplée et sous-développée, en sus d’avoir un territoire terrestre et maritime de taille à accueillir un tel flux ?

Si tel est le cas, le déversement de déchets le long des côtes nationales ou dans les eaux internationales à proximité de ces côtes, comme leur déchargement ou enfouissement massif dans les sols seraient rendus faciles par les critères géographiques présentement évoqués, en sus du critère de sous-développement/surpopulation qui rend vulnérable face à la pollution volontaire, et impuissant face à la pollution involontaire.

La pollution sanitaire en Europe et en Amérique du Nord serait-t-elle en cela le signe d’un sous-développement/surpopulation qui rendraient les deux sous-régions impuissantes face à la pandémie coronavirale ?

2.2. Surpopulation : Bouclier vert de la Terre ?

Pour en revenir à la prodexion mondiale de déchets, bien entendu, nous savons que si la Chine refuse depuis 2013 l’importation de déchets internationaux sur son territoire, elle n’en reste pas moins le premier producteur de déchets dangereux, s’illustrant par exemple en 2005 avec la production de 11 620 000 tonnes de déchets dangereux (Sources : Convention de Bâle 2005, National Reporting ; PNUE 2006, Vital Waste Graphics 2).

Toutefois, si la Chine est première, c’est d’un classement des producteurs mondiaux de déchets dangereux ou sont absents la majeure partie des principaux exportateurs de déchets tels que l’Allemagne, la Belgique, la France, le Royaume-Uni et le Canada, puisque parmi les plus grands exportateurs mondiaux, ils n’ont cependant pas signalé de production de déchets en 2005 . . .

Toutefois, si la Chine est première, c’est d’un classement des producteurs mondiaux de déchets dangereux ou sont absents les États-Unis qui, contrairement à la Chine, n’ont ni signalé de production de déchets, ni même ratifié la Convention de Bâle, sur le contrôle des mouvements transfrontières de déchets dangereux.

Or les principales voies illégales d’acheminements de déchets sont celles allant de l’Amérique du Nord, c’est-à-dire du Canada et des États-Unis, vers la Chine (e-déchets principalement), de l’Europe vers l’Afrique (carcasses de voitures, réfrigérateurs, produits contenant des CFC-chlorofluorocarbures), et de l’Europe vers l’Asie (Câbles, plastique, e-déchets). Pour rappel, les chlorofluorocarbures dits CFS sont des gaz fluorés qui participent fortement à la dégradation de la couche d’ozone.

Couche d’ozone qui, victime expiatrice de la pollution, ne pourrait être colmaté que par les efforts laborieux, structurés et massifs d’une surpopulation, seule protection capable de servir comme bouclier écologique de l’humanité, comme aujourd’hui la Chine en est le bouclier sanitaire.

Nous pouvons également porté à l’attention générale que le surpeuplement, plus que de conduire à l’irresponsabilité et l’accaparement des ressources, est le moyen d’une juste répartition-allocation des ressources à l’échelle régionale et globale.

Ainsi, selon le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (source : portail des données GEO du PNUE, d’après CCNUCC, CDIAC. LULUCF non pris en compte) en 2004, parmi les sous-régions émettant le plus de kilogrammes de CO2 par habitant figuraient en tête l’Amérique du Nord, à savoir le duo Canada-États-Unis avec 20 015 kg CO2/hab, le bloc Australie-Nouvelle Zélande (17 233 kg CO2/hab), la Péninsule arabique (12 562 kg CO2/hab) le Groenland (10 003 kg CO2/hab), suivi de l’Europe occidentale (9 081 kg CO2/hab) et l’Europe Orientale (9 190 kg CO2/hab).

Toute la région de l’Asie de l’Est et du Pacifique nord-ouest (Chine comprise) présente, elle, un taux d’émission de 4 710 kg de CO2 par habitant, ce qui est inférieur à celui de l’Europe Centrale (5664 kg CO2/hab) ou l’Asie Centrale (6 771 kg CO2/hab).

Pour l’Amérique Centrale, le taux avoisine 3 384 kg de CO2 émis par habitant. La sous-région de l’Afrique de l’Ouest émet 546 kg CO2 par habitant, et l’Afrique centrale 179 kg CO2 par habitant.

L’Asie du Sud (dont l’Inde) émettait 1 252 kg CO2 par habitant, et l’Asie du Sud-Est, au rang desquelles nous trouvons les « bébés tigres » développés, 1 956 kg de CO2 par habitant.

2.3. Rapport entre Pollution et Sous-Développement

Il pourrait être rétorqué que les pays qui émettent le plus de CO2 par habitant sont des pays développés, voire très développés, et qu’ainsi leurs modes de vie avancés expliqueraient leur émissions et pollutions considérables.

À cet égard, ne pourrions pas dire que l’indice de développement premier d’une nation, d’un territoire est son taux de pollution ? La dégradation environnementale ne pouvant assurément être mise au rang de signe de développement, il serait plus raisonnable de proposer le taux de pollution produite par une nation, une économie, un territoire, comme indice de son sous-développement.

Nous pourrions augmenter notre propos par examen d’un dossier écologique tout aussi essentiel que celui des déchets : le dossier de l’énergie.

Selon l’Agence Internationale de l’Énergie dans son International Energy Annual de 2006, en ce qui concerne l’électricité, alors qu’en Asie de l’Est et du Pacifique Nord-Ouest, chaque personne en consommait en moyenne chaque année 2 560 kilowattheure (kWh), que ce taux était en Asie du Sud-Est de 845 kWh et en Asie du Sud de 483 kWh, il était en Amérique du Nord de 13 088 kWh, en Europe Occidentale de 6 862 kWh et en Australie-Nouvelle Zélande de 10 608 kWh.

En Afrique de l’Ouest, la quantité de la consommation d’électricité par personne, en moyenne chaque année était de 117 kWh, en Afrique centrale de 110 kWh, et en Afrique de l’Est de 58 kWh.

2.4. Comment la Surpopulation sauve le monde

Le constat semble être sans appel : plus une région est réputée surpeuplée, moins elle pollue et moins elle consomme, et moins elle gâche, si nous considérons la lutte quotidienne menée contre le gaspillage alimentaire, énergétique et ressourcier* dans les régions dites surpeuplées.

À contrario, l’absence de surpopulation pourrait conduire à une surconsommation aveugle, non maîtrisé, à un égoïsme effréné, à des pratiques inconsidérées, donc à l’épuisement des ressources du monde comme à la mise en péril du bien commun; là serait donc l’origine et la cause principale des crises démographiques, économiques et environnementales.

C’est dire que n’est pas la surpopulation le problème environnemental, celui-ci est fonction de la gestion de l’environnement même, et de sa propre population.

Gérer sa population ne peut être et se réduire à la réduire ou l’empêcher d’être, c’est la guider dans le chemin de la responsabilité individuelle pour le collectif, et le maintien en vie saine du collectif et de chacun de ses éléments.

Cela, la Chine milliardaire en femmes et hommes l’a bien compris. La valeur ajoutée de la Chine qui sauve le monde réside, plus que dans ses devises, dans ses habitants, qui sont donc à l’heure actuelle la première valeur mondiale, puisque productrice de la valeur mondiale la plus partagée : les instruments de protection comme de guérison sanitaire.

Mais encore, les valeurs inculquées à la population chinoise par son État populaire font de la Chine une nation qui s’attaque frontalement aux problématiques de protection de l’environnement.

Nous pouvons même dire que la surpopulation de la Chine, et la conscience par la Chine et ses habitants de celle-ci appelle à un devoir de sensibilisation, comme de volontarisme environnemental qui porte ses fruits.

La volonté de préserver la vie, comprise dans l’environnement et en quoi l’environnement est compris, est puisque l’environnement est fondamentalement sans frontières, une volonté qui doit se faire monde.

Dans le combat pour protéger l’EN-VIE-RONNEMENT, le monde ne doit se priver d’aucune force, et multiplier les énergies plutôt que les brimer, les brider ou les briser, car la Terre permettra comme une matrice à tout ce qu’elle a généré de pouvoir se développer en elle, par elle, mais aussi pour elle et selon ses propres lois.

Ignorer ceci serait le signe d’une régression totale de l’humanité, aller contre serait la mise à mort de toute vie sur Terre.

Tentons une lapalissade : Seule la destruction de la Terre entraînera sa destruction, et non la prolifération de la vie, qui est l’expression même de la vie sur Terre.

2.5. Limites supposées de la surpopulation

Les opposants à toute (sur?)population présenteront les avancées technologiques, industrielles, les modes de vie eux aussi de plus en plus avancées (or la déresponsabilisation de l’homme n’est-elle pas sa régression?) comme incompatibles d’une part avec l’essor ou le poids démographique, mais aussi d’autre part avec la démocratisation des avancées et modes de vie susnommés.

En somme, la Chine ne devrait ni se doter des avancées technologiques et modes de vie des nations dites avancées (c’est-à-dire des nations ayant premièrement fait usage pour démocratisé de tels avancées et modes vies) comme des siennes propre -alors que le monde pousse à l’harmonisation des procédés, ni accroître sa démographie, ni même la laisser demeurer conséquente en l’état.

Ces arguments de la désindustrialisation et de la dé-surpopulation se fondent sur des considérations d’ordre écologique; or ce n’est ni l’industrie ni la population qui, en soi, mettraient l’écologie en danger.

C’est la dé-responsabilité ou l’irresponsabilité à la fois vis-à-vis de son industrie, comme de sa population lorsque celle-ci est écartée de son bien-être, de sa quiétude et de sa mission basique de protection de la vie, qui cause la destruction actuelle de l’environnement.

Pourtant, la Chine, dont la surpopulation est l’industrie pourvoyeuse en OGS et OPS du monde, est à cet égard tant responsable, non pas seulement d’elle-même, mais de tierces régions, à une échelle mondiale, surpopulationnelle dirons-nous puisque ce sont des régions écologiquement surpeuplées qui sont premièrement impactées.

Oui, la Chine est responsable du monde, ce d’un point de vue industriel (avec une industrie sanitaire indispensable) et démographique, puisque c’est la surpopulation chinoise qui porte secours, assistance et aide à la population mondiale, dont en premier lieu aux tenants d’une désindustrialisation et dé-surpopulation.

La désindustrialisation, elle, ne saurait être justifiée que par l’irresponsabilité, la dé-responsabilité.

La dé-surpopulation saurait-elle être justifiée par l’irresponsabilité, la dé-responsabilité ? Une telle question de vie et de mort, concernant des vies humaines ne saurait être traitée à la légère; et fera l’objet de notre part du rappel pour le respect immuable de toute vie humaine.

Si jamais le virus de la COVID avait entraîné une désindustrialisation et une dé-surpopulation, cela signifierait-il que le virus s’est révélé comme la manifestation de la volonté de désindustrialisation et de dé-surpopulation ?

La considération des régions les plus touchées par la crise du coronavirus induirait-t-elle alors une localisation des zones géographiques dont l’irresponsabilité, ou la dé-responsabilité, tant du point de vue de l’industrie que de la population, et des conséquences de celles-ci sur l’environnement, appelait une désindustrialisation ou dé-surpopulation forcée ?

2.6. Limites véritables de la surpopulation

Alors qu’une analyse à l’extrême de la crise de la COVID pourrait donner raison aux partisans d’une désindustrialisation et dé-surpopulation (les deux thèses peuvent être exclusives l’une de l’autre), nous ne pouvons que rappeler que le concept de surpopulation est relatif.

Quel est le seuil de la surpopulation ? La surpopulation a-t-elle un seuil fixe, indépendamment de toutes considérations d’espace ou de localisation ?

La Terre aurait-t-elle été plus étendue ou plus restreinte que les grandeurs concernant la surpopulation en aurait été diminuées ou étendues ?

En un sens, la surpopulation ne pourrait-t-elle pas être calculée non pas simplement d’après le nombre d’habitants, ou à la densité de population (nombre d’habitants au km2), mais également à partir de la manière dont la population d’un ensemble donné peut gérer ses ressources comme celles d’autrui, préserver son environnement comme l’environnement mondial, en un sens s’administrer responsablement selon des critères démo-environnementales* ?

2.7. Pour une science vitale : la Démographie de l’Impact

La démographie de l’impact* (demography of impact), qui désigne la détermination de la surpopulation selon l’impact positif ou négatif sur soi, les autres, sa zone d’administration comme l’écologie, puisque ce sont les présents critères qui justifient toute politique démographique à l’échelle locale et mondiale, est la plus juste, car posée sur des bases égales pour tous, elle s’adapte aux conditions et occupations de chacun.

En un sens, la démographie de l’impact représente la jonction de l’innée et de l’acquis, de l’action et de la réaction, ce sur quoi repose toute science du vivant.

La démographie et l’écologie sont deux sciences vivantes, interagissant l’une avec l’autre pour former le cadre de la vie humaine; l’influence mutuelle de la démographie et de l’environnement est observable, et la faculté de la quantifier, de la mesurer est le propos comptable de la démographie de l’impact.

Si la détermination de la surpopulation doit se faire par une démographie de l’impact, à savoir l’étude de l’impact socio-environnemental (positif ou négatif) des populations, alors la surpopulation ne serait pas nécessairement là où la population est la plus nombreuse, mais là où son impact socio-environnemental est le plus néfaste.

La démographie de l’impact, détermine donc que la population ne saurait être simplement mesuré de manière quantitative, mais aussi et surtout qualitative; la surpopulation dépend donc non pas seulement de la quantité de la population mais de sa qualité socio-environnementale.

La Chine, présumée surpeuplée car particulièrement peuplée d’un point quantitatif, n’est pas factuellement surpeuplée, la Chine n’étant assurément pas surpeuplée sur le plan qualitatif.

La qualité socio-environnemental produite par la Chine est d’ailleurs telle qu’elle offre un excédent socio-environnemental qualitatif, que la Chine met à la disposition des autres nations pour remédier à leur crise sociale liée à l’épidémie, qui se révèle intrinsèquement environnemental puisque ne peut être glissée sous le tapis, ou plutôt enfouie dans le sable, déversée dans la mer, déchargée dans des bidonvilles, la question de la gestion des déchets OGS-OPS.

Nous voyons que le concept de surpopulation est davantage démo-qualitatif ou démographo-qualitatif* que purement démo-quantitatif ou démographo-quantitatif*, concordant en cela avec la démographie de l’impact.

Qui veut étudier la population, lui assigner des rôles, des fonctions, comme ordonner son évolution devrait se référer non pas à une simple considération numérique de la population, mais à son impact socio-environnemental, afin que celui-soit positif.

Dans le cas contraire, l’organisateur de la population qui ne lui ferait pas tendre vers et atteindre un impact socio-environnemental positif, cela serait un crime contre l’humanité et l’environnement.

Celui qui souhaiterait soustraire l’homme et la population de l’équation pour parvenir à tout impact socio-environnemental, négatif, nul ou positif, celui là serait coupable de pire qu’un crime contre l’Humanité, coupable d’un Déni de l’Humanité, celui là serait coupable de pire qu’un crime contre l’Environnement, coupable d’un Déni de l’Environnement.

La démographie de l’impact, dont une des données est l’impact géographique, rapporté à d’autres critères comme la population, la géographie, la politique et le bien-être général, en effet, n’est pas eugéniste, discriminatoire selon l’origine géographique, sociale, en ce qu’elle n’a pas pour critère l’individu mais son action.

La démographie de l’impact considère également que la protection et le soin de l’homme et de la communauté humaine, dans le sens d’un bon impact social et environnemental, est la marque de la responsabilité démographique.

En ce sens, la « surpopulation » chinoise, qui porte mal son nom nous le verrons, a aujourd’hui responsabilité de la charge démographique du monde, pour des raisons socio-environnementales explicitées ci-avant.

2.8. Clarification du concept de surpopulation

Si nous disons que le qualificatif de surpopulation, que nous n’utiliserons plus que pour des questions pratiques afin de renvoyer à la quantité démographique chinoise plutôt qu’à sa qualité, n’est pas adéquat pour évoquer la population chinoise, c’est en vertu de ce que c’est que vraiment que la surpopulation.

Qu’est ce que la surpopulation ?

La surpopulation, vous le verrez est un concept produit de la démographie de l’impact.

Communément, la surpopulation désigne un état ou un espace est perçue comme trop peuplé, le dernier qualificatif étant qualitatif plus que quantitatif, basé sur une impression plus que sur des faits.

Malgré que l’impression de surpopulation dérivant des impressions puisse trouver écho dans une quantification de la population concernée, notamment en termes de nombres d’habitants et de densité de population, ces derniers chiffres, comme l’impression, ne sont pas les critères déterminants d’une surpopulation.

La surpopulation est déterminée par l’incapacité d’une population de suffire à ses besoins, ceci sur la base de considérations démographiques qui seraient contraires à une telle capacité.

À cet égard, la Chine n’est pas surpeuplée mais régulièrement disposée, si ce n’est avantageusement, puisque disposant d’une population de plus d’un milliard d’habitants, ce qui n’est en soi ni fort ni faible -un nombre en soi n’étant ni important ou faible, mais juste plus ou moins éloigné du zéro, mais juste important par rapport à la quantité d’habitants de tierces populations, la Chine ne semble pas ne pas suffire à ses besoins, et pourvoit même aux besoins du monde entier, ici en OGS et OPS.

Si la Chine, peuplée en 2020 de près de 1 439 324 000 habitants, n’avait pu suffire à ses besoins, cela en aurait-il été automatiquement imputable à sa démographie ?

Il est des débats sur la démographie qui sont quelque peu lacunaires en ce qu’ils réduisent le débat de la surpopulation sur le nombre d’habitants, de telle sorte que tout problème y serait lié, mais ce seulement dans une nation à forte population, forte croissance démographique, ou forte densité de population, par rapport à d’autres nous précisons, ce qui donne l’impression d’un débat voulant créer une démographie normative, calquée sur des modèles localisés, nécessairement inadaptés à d’autres localisations et contextes.

Les comparatifs et superlatifs, attachés à des préconceptions mélioratives ou péjoratives, partiales et parcellaires, usités pour évoquer la population, la croissance démographique ou la densité de population, certes peuvent servir à établir un écart de grandeur entre la croissance nulle et le taux d’évolution positif ou négatif.

Cependant lorsque la différence entre la croissance nulle et la croissance ou la décroissance non nulles n’est qualifié de forte, faible ou modérée que selon des visions normées préconçues, sans doute localisées, le taux de densité de population comme le chiffre total de la population sont alors des données qui font l’objet de mesures normées à partir de visions particulières, qui n’englobent pas l’ensemble des types de schémas démographiques.

C’est à cette science démographique mono-oculaire qu’il faut apporter du relief, comme la pleine conscience de la diversité des regards, par l’apport des visions démographiques multiples, s’exprimant aussi bien dans les usages que les conceptions.

C’est donc à une réflexion sur la mono-démographie et la poly-démographie que nous appelle la nécessité d’une gestion des populations saine et équilibrée, à partir de considérations adaptées à notre objet d’étude et d’action : les populations en leur interaction avec et en leur impact sur leurs sociétés, dont l’environnement ou les sociétés humaines sont comprises.

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COMMENT LA SURPOPULATION CHINOISE SAUVE LE MONDE : Troisième Partie

3.1. Mono-démographie et Poly-démographie : Obsession et réalité

La mono-démographie, opposée à la poly-démographie ou multi-démographie est parcellaire au sens d’incomplète, fragmentaire, lacunaire.

La mono-démographie ne voit pas le monde comme une mosaïque de parcelle démographiques, mais comme un champ unique, et est ainsi mono-opérationnelle, focalisée sur un type de culture.

Mono-maniaque, la mono-démographie ne vise que l’application de son seul modèle démographique, pourtant fondamentalement réductible à sa seule théorie, seule vérité, particulière et non-valide lorsqu’elle se veut universelle alors que niant l’université des modèles démographiques, elle ne peut s’imposer comme universalité, car elle est sélection d’un modèle puis extension arbitraire et prédatrice de ce modèle, au détriment de la réalité de la diversité de l’Univers humain.

Le mono-démographe est donc comme l’agriculteur local qui voudrait appliquer son type de culture à toutes les terres arables du monde, aux forêts comme aux montagnes, aux rizières comme aux rivières, et même aux lacs, aux déserts, aux océans . . .

La spécialisation professionnelle, scientifique, ayant cours en Occident est une richesse universelle, sans doute en partie influencée par la tolérance afro-hélasorientale importée en Europe par les contacts avec l’Égypte antique, l’Islam, les khans, les souverains chinois comme les sultans ottomans.

N’est-il pas curieux que la spécialisation scientifique et professionnelle soit orientée vers une généralisation unilatérale de ses facultés en ce qui concerne la démographie, science dont la diversité des ensembles est aussi prégnante que pour ceux de sa jumelle, la géographie.

La démographie, science et gestion des populations doit être unitaire, comme il est indéniablement une population mondiale. La démographie doit aussi et d’abord être multiple, comme la population mondiale, qui en son sein contient plusieurs populations, donc plusieurs démographies.

La science et la gestion de la population du Minnesota n’est pas la même que celle de la Mongolie Intérieure; malgré les instruments de mesure qui demeurent les mêmes, les modes de vie, les cultures, le patrimoine, l’environnement ne pourraient raisonnablement permettre l’application des mêmes préceptes démographiques aux deux régions.

Malgré qu’elles partagent les mêmes chiffres liés à la population, on ne peut administrer de la même manière une région nomade d’une région sédentaire, une culture vivrière d’une culture agricole de masse, un État connaissant un vieillissement de sa population à un État composé majoritairement de jeunes âgés de moins de 15 ans.

Nous ne pouvons harmoniser toutes les données de tous les pays, comme nous ne pouvons harmoniser toutes leurs données géographiques.

Nous ne pouvons exporter l’Himalaya dans le Massif Central, ou la Région des Grands lacs dans le Désert australien.

La spécificité démographique devrait être aussi intégrée et claire à l’esprit que la spécificité géographique, afin d’empêcher la Chine ou toute autre zone géographique fustigée pour sa population d’être gérée come le Luxembourg ou la Namibie, comme afin d’empêcher la Namibie et le Luxembourg de se voir imposer le modèle démographique chinois.

La démographie est une science, et un art, dont il faut considérer chaque paysage comme il est, et essayer de comprendre son évolution au lieu de l’aplanir, l’uniformiser, car cela le désagrègerait par uniformisation, désidentitarisation.

3.2. Limites et contradictions de la Mono-démographie

La gestion mondialiste du monde se prêterait-elle à la gestion unique d’un peuple mondial unique qu’alors il ne faudrait le traiter que comme un seul ensemble, ou toute cause aurait des conséquences sur l’ensemble ? Ainsi la réduction de la population et de la croissance démographique, voire l’inversion de la croissance démographique, seraient appliquées sur l’ensemble de la population mondiale.

Le monde étant global et un, c’est la fin de la localisation des solutions à des questions locales, c’est la population mondiale qui doit diminuer, passant d’un nombre n1 à un nombre n2 inférieur à n1.

Ainsi la population de chaque pays diminuerait de manière proportionnelle à la diminution générale de la population mondiale : logiquement, les nations étant, ou étant jugées moins peuplées que celles étant ou étant jugées plus peuplées que ces dernières seraient les premières impactés.

Les nations les plus faiblement peuplés pourraient même démographiquement disparaître si la diminution générale de la population mondiale était telle que le pourcentage représenté par la population des nations les plus faiblement peuplées dans la population mondiale était inférieur à l’écart de population entre la population mondiale d’avant la réduction démographique mondiale et celle d’après ladite réduction.

L’absurde d’une gestion uniforme mondialisée des populations transparaît lorsque son application appelle à une compartimentation géographique des mesures prévues à cet effet.

3.3. L’équation sino-mondiale

De par la conscience de sa (sur)population, longtemps vouée aux gémonies, mais à présent essentielle à la guerre contre la Covid-19, la Chine a pu en quelque décennies organiser une société à échelle de continent, ou l’efficacité pragmatique diffusée de l’État à la population amenuise les atermoiements liés à l’adaptation nécessaire à la crise.

Si la Chine est, et sauve, c’est parce qu’elle est nombreuse et qu’elle travaille, unie avec discipline.

Cela ne fut sans doute pas toujours le cas. L’économie chinoise est rescapée des pires périodes de son Histoire, et la politique de l’enfant unique n’a pas fini de laisser des traces, malgré les effets qu‘elle a pu avoir sur la maîtrise importée de sa démographie.

Dès lors que la Chine a pu se faire confiance, et donc en sa surpopulation, loin des clichés et des discriminations, elle a pu, non pas exporter son modèle démographique, là n’est pas encore la question, mais exporter les bienfaits de sa surpopulation, dont en premier lieu la surproduction de son industrie.

L’équation sino-mondiale est simple :

Surpopulation = Superpopulation* = Surproduction = Superproduction* = Surconsommation = Superconsommation* = Surcroissance = Supercroissance*.

La population est en effet une force de production majeure, à considérer au même titre que les moyens de production comme les capitaux.

Superproduction = Survie. En temps de guerre, il n’est rien qui ne sauve si ce n’est la superproduction, garantie de la survie nationale et en un contexte de morbidité mondiale, garantie de la survie de l’Humanité.

Si le contexte, les conditions ou les stratégies adoptées ne permettent pas de se reposer sur sa puissance démographique, la crise actuelle prouve, puisque c’est la Chine «trop peuplée» qui de par son nombre d’habitants opérationnels tient le sort du monde, qu’il faut au moins se réserver une puissance démographique industrieuse, fut-t-elle tierce.

3.4. L’Anti-Démographisme

Posons-nous la question suivante : dans le cas d’une crise comparable, sans la Chine, que se serait-il passé ?

Combien de morts aurions-nous déploré sans les 34 masques OPS par personne dans le monde ? Combien de morts aurions-nous déploré sans les 224,1 milliards de masques OPS ? Combien de morts aurions-nous déploré sans les 2,31 milliards de combinaisons OPS ? Combien de morts aurions-nous déploré sans les 1, 08 milliards de kits de dépistage ? Combien de morts aurions-nous déploré sans les millions d’OGS distribués à travers le monde (centaines de milliers de seringues pour les vaccins, et de ventilateurs de réanimation) ?

Mais combien de crises, combien de bouleversements aurions-nous connus sans la surpopulation chinoise ?

Pour finir, nous devons revenir à la source de la pensée anti-démographiste*.

L’anti-démographisme* prônait la sous-population, partout et pour tous, sans distinction.

La réduction de la surpopulation mondiale, par la réduction de populations ciblées réputées surpeuplées, ce par rapport à des normes anti-démographistes, était, et est sans doute encore une pensée considérée comme appliquée.

Nous avons prouvé les bienfaits dont une telle politique anti-démographiste aurait privé le monde si elle avait conduit à une réduction de la surpopulation chinoise ; la force productive industrielle chinoise aurait été impossible.

En effet, pas d’atelier mondial sans démographie de dimension globale.

Si nous refusons l’application uniforme de la politique anti-démographiste sans distinction géographique et sociale, et sans pensée pour l’avenir, nous ne pouvons également présenter le modèle de la surpopulation comme modèle unique, à retranscrire aveuglément sur tout territoire.

Toutefois, puisque la pandémie de la Covid et sa gestion ont appelé une solidarité internationale, une concernation* de tous par tous, notamment par le commerce, la coopération et l’échange, nous posons qu’il faut nécessairement, si globalité de gouvernement il faut adopter, proscrire toute action de régression de la surpopulation.

Cela serait pire qu’un meurtre ; un meurtre doublé d‘un suicide.

Ce serait pire qu’un crime contre l’Humanité, un Déni de l’Humanité.

Et le suicide ne serait dissociable du meurtre, puisque comme l’analyse de la Chine fournisseuse du monde le prouve, tuer, réduire ou réguler dirons-nous, la population ou qu’elle soit serait comme jeter à l’eau en tant de crise sanitaire 34 masques OPS par personne dans le monde, 224.1 milliards de masques OPS, 2.31 milliards de combinaisons OPS, 1.08 milliards de kits de dépistage, et des millions d’OGS distribués à travers le monde (dont des centaines de milliers de seringue pour les vaccins, et autant de ventilateurs de réanimation).

Qui ferait cela ? Ceux qui fustigent la surpopulation de l’Asie l’auraient fait, et le font lorsqu’ ils freinent la surpopulation, intrinsèquement bénéfique, qui s’établit en Afrique et en Asie.

3.5. Le Démographisme

Le nombre est le potentiel, ici le potentiel de production, de distribution et d’aide.

La force démographique est la clé de voûte de tout système mondial.

La Chine l’a prouvé, comme le feraient sans doute l’Asie et l’Afrique, le grand nombre peut garantir la survie du plus petit nombre.

Le nombre est la vie.

Si la richesse démographique n’était pas la vie, et ne méritait pas tous nos efforts, tous nos encouragements pour le soutenir et le protéger, pourquoi donc en Europe et en Amérique du Nord lançons-nous des campagnes de vaccinations, établissons nous des gestes barrières ?

Pourquoi ne laissons-nous pas le virus du Sras-Covid tuer le maximum de personnes là où il sévit le plus, alors que la réduction vitale serait la réduction du nombre prônée par les meilleurs esprits du monde ?

Le courant anti-démographiste ne demande pourtant, aujourd’hui, ici et maintenant, que d’être appliqué en Europe et en Amérique du Nord.

Nous n’y souscririons pas.

Car le nombre est la vie.

Et sur le nombre tout repose, pour que la vie s’impose.

La surpopulation est un atout. Elle doit en tant de paix être préservée pour ne pas être en tant de guerre inexistante par absence ou faiblesse, mais une force de support à l’échelle du monde.

Tout doit conduire à la présence vigoureuse de la surpopulation, pour rempart vital à l’anéantissement total.

Pour ce faire, puisque nous avons vu que l’importation de modèle démographique n’est pas souhaitable, mais que lui est préférable un développement interne de santé démographique, il faut laisser chacun cultiver son jardin, nourrir et protéger sa famille, afin le cas échéant d’en faire profiter, comme la Chine aujourd’hui, l’humanité toute entière.

La surpopulation, intrinsèquement est un plus, qui va donner par contribution la solution à toute crise, mais encore permettre à celle-ci de repartir sur des bases solides, hors du cercle de la morbidité.

La croissance démographique est d’ailleurs un indice de santé, de vitalité et de vigueur de la population, qu’il régule en tant qu’il établit le renouvellement des générations.

Ainsi une région à faible croissance démographique serait-t-elle menacée, tandis qu’une région démographiquement décroissante serait en péril.

Car la croissance démographique est la vigueur de la population, et aller contre, c’est est aller contre la vigueur de la population . Quelle population irait contre sa propre vigueur ? L’accepter, ce serait comme se confiner, en confinant sa démographie.

Or le confinement spatial comme démographique, les réactions aux mesures de préventions sanitaires contre la propagation du Covid-19 et certains de leurs effets le montrent bien, sont néfastes pour la santé autant physique, mental que émotionnel, et conduit à terme à une aggravation généralisée de la santé de l’ensemble, à une mise en danger de son existence.

La décroissance comme la réduction démographique sont, quelque soit la méthode utilisée, une atteinte à la vigueur et au bien-être humain.

3.6. Considérations sur l’Anti-Démographisme

Réduire la surpopulation et ses facultés, confiner sa santé, et casser sa vitalité comme ses capacités d’épanouissement, de production, et comme la Chine le démontre, de conception comme de projection, c’est la faire rentrer dans le cercle de la morbidité qui, puisque le monde est interconnecté, influe nécessairement de manière néfaste sur le monde, créant de multiples facteur de comorbidité.

Réduire la surpopulation ferait de l’humanité la proie du trou noir morbidaire*, c’est à dire si malsain qu’il condamnerait à mourir.

Or la surpopulation crée l’énergie nécessaire qui résiste à la force de gravité du trou noir; sans le surplus d’énergie de la surpopulation, nous serions happés par le trou noir.

Nous le voyons à l’aune de la pandémie, les populations qui se sont posées contre la surpopulation ou ont refusé d’y associer leur politique, ces populations développent d’avantages de facteurs à risque, et sont devenues des populations dites à risques.

Réduisons les risques, évitons les crises.

Sortons de ce cercle de la morbidité, la solution est là.

3.7. Considérations sur le Démographisme

La solution est la surpopulation.

Avec la Chine déjà, nous ne pouvons que nous associer à la population à la plus forte surpopulation nationale, comme nous ne devrions que nous associer en ce qui concerne le monde entier à toutes ses populations élevées, pour bénéficier de la richesse mondiale que procure la surpopulation de ses éléments y étant prédisposés, la disposition à la surpopulation étant, la Chine en est témoin, un atout comme une très lourde responsabilité qui induit l’autonomie de décision.

Continuons dans cette voie, de tous les côtés de la table.

En effet, dans sa politique de surpopulation, la Chine contemporaine, malgré sa puissance, n’a jamais mené une politique de guerre extérieure qui mettrait sa population intérieure en danger, selon la maxime « ne fais pas à l’autre ce que tu n’aimerais pas que l’on te fasse ». Pour la Chine, la vie est donc importante. La Chine ayant le respect de la vie, il serait donc injuste de mettre en danger sa population, son économie et son État de droit.

Partant, la sécurité des approvisionnements, comme la réduction de toute crispation économique, ne sauraient être permises que par l’encouragement de la surpopulation.

La surpopulation chinoise est aujourd’hui celle qui soigne, nourrit et restaure le monde; la restauration du monde par la Chine se faisant autant sur le plan alimentaire qu’organisationnel.

3.8. Pour Demain l’Acte posé

La Chine a créé au fil du temps le bouclier le plus puissant pour le genre humain : la Surpopulation Anti-Virus.

Gardons cela à l’esprit, lorsque nous condamnerons la surpopulation à se réduire et disparaître :

Aux pires heures de la pandémie de la Covid, c’est par la surpopulation que nous tenons.

Les années sombres à venir ne s’éclairciront que par élévation au modèle de vertu du particularisme démographique, dont son modèle le plus généreux; celui de la SURPOPULATION.

Sans surpopulation, nul partage possible.

Or le partage est ce qui nous sortira TOUS du trou noir démographique que nous tend la crise sanitaire.

Pour survivre à la guerre qui n’est que force de suppression de la population ; promouvons la paix par la force de création de la surpopulation.

Pour Demain l’Acte Posé.

*

LEXIQUE

* : concepts crées par le besoin du présent article ou d’articles antérieurs, par K1FO, pour leur compréhension :

  • OPS/IPS/EPS (Outils/Instruments/Équipements de Prévention Sanitaire)
  • OGS/IGS/EGS (Outils/Instruments/Équipements de Guérison Sanitaire)
  • Prodexeur
  • Prodexion ou prodex (production-exportation)
  • Surprodexion ou surprodex (dont surprodexeur)
  • Anti-surpopulation et Pro-surpopulation
  • Précardisation
  • Clochardisation domestique
  • Tsaro-moscoviste et tsaro-moscovisme
  • Beijingisme
  • Eurasorientale
  • Hélasorientale (terme dérivé du concept de la Hélasie)
  • MSS
  • Gestrans/Gestrance
  • Ressourcier/Ressourcière
  • Démo-environnemental (de démo-environnement
  • Démographie de l’impact (demography of impact)
  • Démographo-qualitatif/ Démo-qualitatif
  • Démographo-quantitatif/ Démo-quantitatif
  • Mono-démographie/Uni-démographie
  • Poly-démographie/Multi-démographie
  • Holi-démographie/Pan-démographie/Trans-démographie
  • Désidentitarisation
  • Superpopulation
  • Superproduction
  • Superconsommation
  • Supercroissance
  • Anti-démographiste
  • Anti-démographisme
  • Concernation
  • Démographisme
  • Morbidaire

GNADOU ATHYTHEAUD, HGOAH | K1FO,

Comment la Surpopulation chinoise sauve le Monde (2021)

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